Dans l’univers d’« Atem » l’être humain (danseuse) se fond et se distance, seul en lui-même, en proie à ses peurs et ses tumultes intérieurs : descendre, pénétrer la profondeur obscure de soi.
Contrepoint du mouvement dansé, le mouvement sonore crée une tension aiguë.
Une sculpture mobile, monumentale et fragile : elle ne veut rien signifier, tout est ouvert, en mouvance, d’un état vers un autre, d’une forme vers une autre.