Dans l’espace scénique, trois présences s’affrontent, se conjuguent, l’homme danseur, une sculpture mobile, la musique.
Des images se succèdent créant les étapes d’un voyage intérieur.
La sculpture mobile, autrement dit « la chose », feuille de papier géante portant traces de dessins, ravagée, chiffonnée, tordue par les eaux, les vents, les mouvements.
Les rapports de l’homme et de « la chose » évoluent, se transforment. Ce qui animera l’homme dans cet « univers », c’est un manque et la sublimation de celui-ci.
Sur scène, le violoncelliste participe à l’évolution dramatique. Le son ouvre d’invisibles espaces.