Le spectacle se développe à partir de l’espace, un espace lumineux, entièrement investi dans lequel l’action est partout.
Chaque point de l’espace est, en soi, un pôle d’intérêt.
La luminosité de l’espace est telle qu’elle génère des perceptions obscures. Les objets ne semblent pas peser au sol, mais flotter, suspendus, paraissant « surdessinés », « surréels », ce qui est douloureux et troublant. A la fois proches de nous et insaisissables.